Salut Frédéric
Chouette, on a l'air de se rapprocher à nouveau. Je réfléchis à ces termes "convergents" et "divergents" (qui me semblent indiquer deux pôles d'une droite, alors que peut-être la notion mérite quelque chose de plus étendu).
Est-ce que la motivation des choix est vraiment importante? Ou est-ce le choix effectivement mis en action qui compte?
Le problème des motivations c'est que c'est extrêmement dur à analyser.
Est-ce qu'on veut vraiment parler de stimulation du ressenti? Si oui, alors les bougies, musiques d'ambiance, parfums de circonstances, habits portés, etc. participent à la synesthésie. Je ne vois pas comment cela peut s'intégrer au processus de prise de décision (fait en évaluant les deux niveaux de la synesthésie).
Il reste donc ce point important à élucider: est-ce qu'on parle d'un concept rationnel et analysable ou d'un concept plutôt du domaine du ressenti personnel et difficilement communicable?
Tel que je la conçois, la synesthésie a un aspect très mécanique et froid, qui peut par contre donner naissance à toutes sortes de ressentis (ce qui va dépendre de chaque individu). Je tente d'éviter la discussion du ressenti, parce que c'est beaucoup trop difficile et parce que je pense qu'il y a un aspect plus simple et analytique à dégager en premier lieu. (Ce qui n'invalide pas que dans les compte-rendus on parle de son ressenti! Je parle que de la tentative de définir la synesthésie.)