Lionel, c'est stRokes, Stokes est un éminent physicien dont les équations constituent mon pain quotidien. Remarque, ça donnerait une nouvelle dimension, pour moi, à la phrase "il s'est pris du bon stokes à la figure!" (Oh oui...)
Oui, Frédéric, tu as raison. Je n'ai pas trouvé très positif pour Jean-Louis le fait de devoir mentir à son meilleur ami pour sauver la peau d'un terroriste ayant provoqué la mort de deux villageois innocents.
Je pense que la manière dont le cadrage des scènes est distribué actuellement est très bon:
Un joueur tiré au hasard, puis un autre tiré au hasard parmi ceux n'ayant pas cadré encore, puis encore, etc. Quand tout le monde a fait une fois, on recommence. Il se peut donc que le dernier d'une ronde devienne le premier de la suivante.
Lier cela à la résolution des conflits aurait vraiment eu pour effet que Lionel domine la partie je pense, laissant moins de zones de tensions pour Marc.
Bien sûr, si un joueur sèche quand c'est son tour, il peut toujours demander l'avis des autres. C'est finalement juste une question de qui a le dernier mot sur ce qui constitue la mise en scène.