C'était Jeudis passé chez Lionel (nonène). Nous avions le choix entre jouer à Mississipi (que Lionel avait lut toute la semaine) et innommable. Finalement nous nous sommes décidé pour un innommable avec moi comme gardien.
L'histoire commence quand Louis White, un blues-man afro-américain (sans doute noir donc), arrive dans la nouvelle propriété de Blacksmith, un bon américain blanc afin d'animer une petite fête donnée par le propriétaire des lieux pour fêter son acquisition. Sur le chemin de la fête il croise Charle Macburble, qui, étant raciste lui lance quelques "remarques désagréables". Suite à cela il aura des souvenir désagréable de la lutte en blancs et noirs. Heureusement Louis Croisa juste après Elisabeth Archer, une ancienne amie avec lequel il s'entendait très bien.
Au même moment arrivait Lily Wormwood, une caricaturiste portraitiste originaire de Pennsylvanie qui devait livrer à Blacksmith des portraits de la défunte mère de ce dernier qu'elle avait fait d'après des photos.
Tous arrivèrent à la fête ou l'ambiance semblait bizarrement plutôt morne et triste comme si les hôte n'avaient plus envie d'être joyeux. Louis White à immédiatement tenté de mettre l'ambiance avec sa musique, abandonnant même son style Blues pour quelque chose de plus entraînant. En montant sur la scène il remarqua quelques symboles vaudou inscrits sur les planche. Il évita soigneusement les planche marquée mais cela ne fût pas suffisant à conjurer le sort. la scène s'effondra sous lui, comme si des termites avaient entamé en un temps record les solide planches.
Au même moment Lily Wormwood qui n'était venue que pour apporter ses dessins montait dans la maison car on lui avait indiqué que c'est là qu'elle pourrait trouver Blacksmith. Si le rez faisait bien bonne maison bourgeoise le haut de la maison était assombris, les murs recouverts d'objets ayant trait au vaudou et l'ambiance oppressante. Il s'y trouvait trois salle; le salon puis le bureau puis la chambre de Blacksmith. L'artiste se dirigea vers le bureau espérant y trouver le propriétaire des lieux. Mais manque de chance personne ne s'y trouvait. Le bureau était une pièce un peu moins oppressante que le reste de l'étage, en fait il aurait pût s'agir de n'importe quel bureau si il ne s'y était pas trouvé des armoires de verre remplies de livres au contenus peu recommandable et de poupées vaudou.
Juste après Lily c'était au tour de Louis de monter à l'étage pour se plaindre de l'état de la scène. Elisabeth monta juste après lui, ce qui fît que Louis se cacha dans une armoire en entendant le bruit. Ce fût donc Lily et Elisabeth qui se croisèrent en haut. Enfin ce fût Charle Macburble qui arriva, emportant avec lui son fidèle fusil, pour se plaindre d'une altercation qu'il avait eu avec un domestique. Elisabeth entra dans le bureau pour voir ce qui s'y trouvait. Elle découvrit quelque-chose d'étonnant, une collection de poupées dont la plupart avaient un clou dans la tête. Elle prît une poupée sans clou avant de se rendre compte que la poupée, c'était elle!
Au même moment Louis jouait de la musique pour se donner du cœur au ventre, un air encore plus entraînant que ce qu'il avait joué au dehors. Mais alors qu'il jouait toute les cordes de son banjo craquèrent.
Lily et Charle eux furent introduit au salon par Blacksmith, qui venait d'apparaître juste derrière eux. Ils discutèrent un peu de choses et d'autre avant que la situation ne dégénère. Un domestique noir arriva et, suite à une forte mésentente entre lui et Macburble le domestique se retrouva couché en train de repeindre le tapis en rouge.
Blacksmith se leva alors et dit "quand vous aurez finis vos bêtises vous nettoierez!". Étonnant, certes, mais pas inquiétant? il faut savoir qu'il avait dit cela au noir allongé sur le sol. Juste après il quitta le salon en le fermant à clé, y cloisonnant Lily, coincée avec un "fous" muni d'un fusil.
pendant ce temps Louis était sortit de son placard et avait décidé d'aller fouiller la chambre de Blacksmith. Il ne fût pas déçu, il y trouva une longue robe blanche et une cagoule (c'était un élément introduit par le joueur et non par moi). S'ensuivit une longue description du Ku-Klux-Klan avec la révélations de secrets occultes dans leurs pratiques que l'histoire à préféré oublié. A ce moment, Louis se précipita à la fenêtre car il venait d'entendre du bruit et vît des hommes cagoulés ou au moins leurs silhouettes dans la brume du marai à la nuit tombante. Mais à peine les eut-il repéré qu'il reçu un projectile non-identifié en pleine tête ce qui l'allongea KO sans qu'il puisse réagir.
Elisabeth arriva du bureau un court instant après pour porter secours à son ami. Conjuguant des savoir transmit par ses grands-parent, ce qu'elle avait appris confronté au symboles étranges qui se croisait beaucoup dans cette maison et la poupé la représentant elle parvînt à faire revenir à la conscience Louis, mais cette opération eût un effet étrange, il les lia à travers la poupée. Elisabeht changea son attache contre la poupée (faut dire qu'elle n'avait pas encore chargée son autre attache). Mais à peine les deux amis (ou amants ça va aussi à ce stade de l'histoire) s'étaient relevé qu'ils se rendirent compte que la porte était fermé à clé, de plus la végétation du bayou commençait à recouvrir la maison.
Quand au deux autre prisonniers du salon ils n'en menaient pas plus large. Le domestique s'était relevé et avançait vers eux sans qu'ils ne puissent fuir. Lily hurlait et tentait d'imaginer une voie de sortie. Macburble tentait de tirer sur le zombis, mais n'ayant plus de balle il utilisait ses doigts pour charger son arme. Enfin le zombis fût abattus mais le fusil explosa du même coup. Enfin ils parvinrent à défoncer la porte et à sortir.
Quands au prisonniers de la chambres, eux, s'étaient fait attraper par des lianes qui les enserraient et les compressaient l'un contre l'autre. Encore une fois ce fût la poupée qui les sauva via les savoirs occulte d'Elisabeth. Il firent pourrir les plante puis le mur en vidant la poupée de toute son énergie, (ce qui veut dire sacrifier l'attache). La petite poupée n'était plus qu'un loque qui pourrissait sur place mais les deux compères étaient libre et purent rejoindre les autre dehors, où le marin avait totalement recouvert l'ancienne propriété
C'est à ce moment là que Lily se plaignit de vouloir simplement livrer les portrait de la grands mère et de partir. Elisabeth eût soudain la conviction que les dessins étaient maudits et qu'il fallait s'en débarrasser. Les deux femmes tirèrent chacune sur les feuilles l'une pour les garder, l'autre pour les détruire. À ce moment là les feuilles des dessins tombèrent en poussière et le spectre de la grand-mère sortit des dessins et partit dans le marais, en emportant avec lui la vie d'Elisabeth.
Ce fût un choc pour Louis qui jeta son banjo à la tête des membres du Ku-klux-Klan qui s'approchaient pour obtenir un projectile similaire à celui que les "klanner" lui avaient jetés. Puis il se tua sur le cadavre de son aimée pour prouver que l'amour était plus fort que l'horreur. les deux restant se séparèrent. Lily se retrouva face au ancien invité de la fête transformé en zombis qui voulaient l'attirer avec eux. Quand à Charle il crût se remémorer un ordre de son paternel qui lui avait légué son fusil et qui lui intimait de frapper au cœur. Il partit donc au cœur du marai ou se trouvait un anciens arbre au pendu du klan et qui était la source du mal. En effet un rituel qui devait permettre à Blacksmith de faire revenir sa grand-mère exigeait plusieurs sacrifices humains, notamment des noirs (ont parle du Ku-Klux-Klan). Il décida donc de le détruire et, n'ayant rien sur lui décida de se faire sauter en entier comme il avait fait sauter ses doigt. Ainsi se termina la vie de l'arbre au pendus et la puissance de Blacksmith.
Lily fût sauvé de justesse des zombis mais n'échappa pas à l'asile et l'ancienne résidence dort encore dans les bayou.
Ce fût une partie intéressante et sans problème tel qu'une source surpuissante (6 cases à la fin). Un des seul point vraiment dommage fût que pour prendre les dés les joueurs ont un peu trop fait appelle à des souvenirs en négligeant les autres possibilités.